
Gaffe aux gaffes…
Parties courtes ou miniatures
El-Pascalou (Elcacalou-17 sur lichess) Citadelo (sur lichess),
membres du https://club.app24.fr Club sans tricheurs co-administrent ce site.
Comment apprendre d'une façon sympa ?
https://mon-espace.apprendre-les-echecs-24h.com/devenir-son-propre-coach-aux-echecs/
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Si vous avez des parties courtes ou miniatures commentées par vous à nous proposer n'hésitez pas, verbaliser ses parties est une bonne méthodologie !


et certainement pas avec un type qui roque sans prévenir.
* Pierre Desproges
L'échiquier, c'est un peu comme la vie : on démarre tous avec les mêmes pièces, mais certains les perdent plus vite que d'autres.
Ici, point de grands maîtres aux fronts plissés comme des draps de lit un lendemain de cuite, ni de parties qui s'étirent comme une soirée entre comptables.
Non. Sauf s'ils s'invitent, une telle invitation ne se refuse pas !
Surtout si le sourire y est !
Nous, on vous propose des immortelles — des parties si belles, si courtes,
si jubilatoires… qu'elles n'ont jamais été jouées.
Comme un film culte dont personne n'a vu la fin. Comme une chanson d'amour écrite pour un pion.
Des bijoux taillés dans l'absurde et le sublime, entre gaffe magistrale
et épiphanie stratégique.
Le but du jeu ?
Faire ce que vous ne feriez jamais en tournoi.
Essayer l'impossible.
Tomber amoureux d'un clouage.
Mourir dignement sur un échec et mat au troisième coup.
Et surtout, s'amuser comme des fous (blancs ou noirs, selon humeur)
biaisant en toute franchise cherchant à se caser !
Le pouvoir de faire et le pouvoir de défaire…

« Peut-on vraiment faire ça ? »
« Il peut me faire ça ? »
« Oui, mais faut voir à quel prix. »
Parfois, aux échecs, on a le droit de faire.
Par exemple : pousser son pion deux cases.
Mais on devrait se demander : est-ce décent ?
Est-ce moralement acceptable de jouer un Gambit Dame contre sa propre grand-mère ?
Dans ce monde de règles rigides et d'algorithmes froids, nous avons décidé de ne rien respecter,
sauf le plaisir du jeu.
On vous montrera les ouvertures comme on présente une galerie de personnages déjantés.
Le London ? Un fonctionnaire méticuleux.
Le Gambit du Roi ? Un punk en kilt.
La Scandinave ? Une randonneuse qui attaque en tong.
Et au milieu, des gaffes. Oh oui, des gaffes.
Des erreurs qu'on chérit comme des vieilles casseroles :
celle qui sacrifie sa Dame pour rien,
celle qui oublie qu'un Fou en f6, c'est pas anodin,
celle qui joue h3 "juste pour voir".
Des gaffes qu'on commente à la loupe, avec tendresse et un soupçon de vinaigre balsamique.
À PRÉSENT PARCOURONS !